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27 mars 2007

AIMER TOUS LES HOMMES ?


Une question qui revient sans cesse des que nous parlons de changer le monde. Un sujet qui pourrait remplir des pages tant l’histoire est chargée de ces moments où entreprendre d’aller vers l’autre, l’écouter, chercher à le comprendre, au lieu de lui chercher querelle, aurait pu épargner bien des malheurs et bien des vies. Aimer fraternellement n’est plus naturel à l’homme depuis longtemps et c’est pourquoi il demande un effort. Dieu qui se l’impose à l’égard de l’homme, sait combien c’est difficile : « Je serre, Je serre comme le clou », dit-Il dans un accent d’agonie et de souffrance en s’adressant à Mikal (le nom que Dieu donne à Michel Potay) lors de la première théophanie (II/5).

Changer de regard. Aimer fraternellement n’est pas s’épancher sentimentalement. Le sentiment a trait à l’irrationnel et ne se commande pas. Il scelle autre chose que l’amour fraternel : l’amour romantique. Aimer fraternellement à l’inverse, est un acte de raison. C’est s’efforcer de regarder tout homme comme son frère. Tellement plus que l’aider ou lui faire la charité, bien que charité et aide aient partie liée avec la fraternité. Aimer fraternellement est un état de conscience. Volonté d’être universel. A cet amour qui demande un effort, on substitue facilement « la tolérance ». Mot trompeur, mot piège. Est-ce que j’aime vraiment celui que je tolère ? Tolérer c’est accepter du bout des lèvres l’existence de l’autre, c’est fermer les yeux sur sa réalité qui dérange. C’est revendiquer pour l’autre, l’égoïsme que l’on se permet, quand ce n’est pas masquer son agacement par le mépris ou l’indifférence. Quelles relations puis je établir avec quelqu’un que je tolère ? 
 
Différences. « Trop de différences entre les hommes pour pouvoir les aimer tous » me répond t-on le plus souvent. « Les tolérer, un pis-aller nécessaire ». Ecueil des religions et des identités culturelles enfermées dans leur exclusivisme et leur relativisme. Dans notre génération conditionnée par la culture de la « différence », l’amour fraternel, il est vrai, ne peut s’exprimer le plus souvent que par une « tension vers ». Aimer est difficile car cela demande d’abattre ses propres préjugés et ce n’est que peu à peu qu’on les dépasse. Quand on croit en avoir fini avec un, deux autres plus tenaces et moins décelables encore, vous barrent le passage. Une lutte qui requiert de la patience et l’humilité pour voir clair en soi. Une valeur que l’on ne cultive plus dans ce monde de compétition qui nous contraint à batailler sans cesse pour prendre la place de l’autre. Or aimer requiert l’inverse : développer sa capacité à se mettre à la place de l’autre. Un effort qui va à contre courant de l’ordre ambiant, et vous fait, à bien des égards « entrer en résistance ».
 
Si Dieu est revenu à Arès, c’est justement pour relancer cette quête d’un amour universel, seule condition d’un avenir heureux pour l’humanité. Vous êtes libre de croire "raisonnablement" l’homme incapable d’un tel dépassement. De tout temps, le scepticisme a été le fossoyeur de l'espérance en s'imposant en chantre de « la Raison ». C’est pourtant bien au nom de la Raison que Dieu appelle l’homme à considérer l’amour fraternel comme la solution à ses problèmes. Car des hommes qui s’aiment, s’écoutent et se respectent, se traitent mutuellement avec bonté et règlent leurs différents avec intelligence. Un monde changé ne sera pas un monde sans tensions, ni oppositions, inévitables étant donné la diversité humaine. Mais un monde dans lequel la volonté de Bien l’emportera sans cesse. Car quel mal voudrais-je faire à celui que je regarde comme un autre moi-même ?

Souldigg



20 mars 2007

NOUS NE SOMMES PAS DES GOGOS


Ce matin je reçois dans ma boite aux lettres un message d’une association caritative qui fait appel a « ma haute personnalité » et « mon cœur », pour verser « une somme substantielle » directement sur « un compte western union », avec pour insigne compensation de « figurer sur la liste des membres d’honneur » de la dite association. Aucune information qui permettrait de vérifier l’existence ou le bien fondé de cette association n’est donnée mais l’appel lancé à mon cœur est répété deux fois. Ce blog il est vrai, appelle à la générosité puisqu’il appelle à changer le monde sur des bases renouvelées de bonté, douceur, amour, pardon. Cependant il appelle aussi à la réflexion, à la prudence, à la mesure, au discernement,  bref à l’intelligence (spirituelle) et à tout ce qui permet à l’homme de s’équilibrer et de maîtriser les élans de son cœur.

 
Je ne m’attendais pas à recevoir aussi rapidement un tel mail. Ce blog a en effet à peine deux semaines, preuve que les petits malins qui rodent sur Internet ne sont pas longs à rappliquer quand ils flairent un coup à faire. Car je n’ai aucun doute sur le charlatanisme de ces démarcheurs. Que s’imaginent-ils ces affables sans scrupules ? Que parce que l’on prononce le mot bonté, l’on est forcement aveugle ? Ou que parce que l’on parle d’amour, que l’on réponde à toutes les sollicitations sans réflexion ? Faire la charité est nécessaire. Jésus le recommande. Il précise « quand tu donnes, que ta main droite ignore ce que fait ta main gauche ». Ce qui ne veut pas dire donner aveuglement ni sans réfléchir (sinon il aurait dit quelque chose comme que « ta tête ignore ce que fait ta main »). A mon sens il a voulu dire par là que l’homme ne doit pas tirer orgueil du fait qu’il donne et que son don doit se faire sans arrière pensée car il est facile de manipuler quelqu’un qui est dans le besoin. Hélas, nombreux sont ceux qui ont su détourner la générosité des hommes. Le danger de ces initiatives trompeuses comme cette grossière demande d’argent, est qu’elles finissent par rendre méfiants les cœurs et les poussent à se prémunir contre tout y compris de la vérité quand elle leur est vraiment présentée. Je ne saurais donc blâmer celles et ceux qui doutent ou s’interrogent sur l’authenticité de la Parole d’Arès. Après tout, moi aussi, je vais vers les hommes pour les solliciter. Et j’ai conscience qu’avec sa Parole, Dieu demande bien plus que de l’argent : il demande à l’homme un effort sur lui-même, de changer sa vie et de trouver ensuite les voies réalistes qui lui permettront de changer le monde. Mais par cet effort (que le Révélation d’Arès appelle pénitence), l’homme (qu’il soit croyant ou incroyant) engendre son âme et travaille à son Salut

Vous allez me dire « c’est encore pire votre truc ! Vous nous refaites le coup du paradis ! »…. Non ce n’est pas une arnaque, car d’une part ce Salut commence dès ce monde : c’est de retrouver la force de dire la vérité, d’être bon, d’aimer, de pardonner, de partager, … qui est un bien que l’homme ressent et vit de manière effective. D’autre part, vous êtes vous-même l’agent de ce Salut et vous n’en rendez compte qu’à votre conscience. S’engager dans la voie de la Révélation d’Arès n’est pas être un gogo écervelé. C’est au contraire devenir hautement responsable de son existence. 

A bon entendeur, Salut ! 

Souldigg
 
Note : les mots et expressions en italiques sont extraits de la Révélation d'Arès.

13 mars 2007

SOYONS BREF !


Qu’est ce que la révélation d’Arès ? C’est avant tout un message adressé par Dieu aux hommes, à Arès (petite bourgade du bassin d’Arcachon, en France) en 1974 et 1977.

1974. L’homme Jésus, dans sa chair transfigurée, se manifeste à un homme, Michel Potay, marié et père de deux enfants, alors prêtre dans l’église orthodoxe. Jésus se montrera à 40 reprises pour lui dicter « L’Evangile donné à Arès ». Il lui dit en substance que le christianisme n’existe pas, que l’Eglise ne l’a pas accompli. Pire, elle a scandalisé bien des hommes et tout reste à faire pour que le « aime ton prochain comme toi-même », seule condition d’un avenir heureux pour l’humanité, devienne une réalité vécue. La vérité c’est que le monde doit changer (Evangile donné à Arès 12/7) est la pierre angulaire de cette première révélation. L’homme doit se libérer de tous les systèmes (religieux, moraux, politiques) qui l’emprisonnent et l’empêchent de développer la vie spirituelle pure et simple, accessible par la pénitence (effort de changement de soi). A l’issue de ces 40 veillées, Michel Potay quitte son église et commence à transmettre le message.

1977, Dieu se manifeste à 5 reprises au même homme devenu le frère Michel. Ce sera « Le Livre », un message d’une portée et d’une transcendance incomparables. Si Jésus parle un langage familier, Dieu s’exprime dans un langage lapidaire qui va à l’essentiel. L’homme peut revenir en Eden, s’il recrée en lui l’Adam. Arès devient le point de départ d’un nouvel exode spirituel qui bouleversera le monde et Michel Potay est confirmé dans la lignée des grands prophètes (Noé, Abraham, Moise, Jésus, Muhammad) envoyés à l’humanité. Voila pour les faits. 

De ma propre expérience, nourrie de 15 années de prière et de mission, l’Evangile donné à Arès est comparable à une grande vague qui vous saisit et retourne en vous tous les concepts et les idées que vous vous étiez faits sur Dieu, l’homme, la vie… et vous rejette sur la plage, nu, face à votre lâcheté et vos faiblesses, prêt à reconquérir votre vie et recréer ce monde sur des bases neuves (bonté, paix, pardon, amour, douceur,…). Le Livre vient du Tout Autre. C’est une onde de choc qui vous met en mouvement (mais qui peut aussi donner une sensation d’écrasement). Une fantastique explosion de force et de lumière qui fait remonter en vous, du fond des fonds, la figure de l’ancêtre Adam et l’imprime sur votre rétine. Ensemble, Evangile et Livre forment un Tout unique et sans précédent dans l'histoire humaine : la pure parole de Dieu transmise sans gloses ni omissions, accessible au commun sans intermédiaire. Une parole qui désaltère comme une eau vive tout homme qui a soif de vérité et de justice. Ce message est une mine si riche et si profonde que mille vies d’homme ne parviendraient pas à l’épuiser. C’est surtout une parole pour vivre et pour agir, qui vous plante un pied dans l’éternité et l’autre dans les réalités du monde qu’il faut changer

Souldigg


Note : les mots en italique sont extraits de la Révélation d’Arès. Cette présentation, voulue aussi courte et dense que possible pour s'adapter à la mentalité de notre époque n'en dit pas assez pour appréhender ce qu'est véritablement la Révélation d'Arès. Je vous invite donc à consulter une présentation de la Révélation d'Arès, écrite par le témoin lui même, et diffusé sur son propre site, à l'adresse suivante : http://michelpotay.info



03 mars 2007

DE LA NÈPE À L'HOMME-DIEU


Si l'homme peut oublier Dieu, jusqu'à déclarer qu'Il est mort ou qu'Il n'est pas, ou en faire un personnage de fiction, Dieu, Lui, n'oublie pas l'homme. En 1974 et en 1977, Dieu s'est à nouveau manifesté. Il a parlé à un homme, Michel Potay, et lui a confié un message d'amour et d'espérance pour toute l'humanité. 

La Révélation d'Arès, du nom du petit village d'où a été lancé cet appel, rappelle à l'homme qu'il a été créé libre pour vivre heureux et que c'est librement qu'il a choisi de dominer la terre et ses semblables au prix de la mort, de la maladie et de la souffrance.  Dieu ne peut pas changer le monde à la place de l'homme sans quoi il outrepasserait la liberté humaine. Il peut seulement l'appeler et l'accompagner dans son effort. C'est librement que l'homme doit s'affranchir de ces calamités et rétablir le bonheur sur terre. Comment ? En faisant l'effort de changer son propre cœur, en y installant durablement  paix, bonté, pardon, douceur, patience... Chacun est appelé à évoluer. C'est par des actes de bien et non par des croyances ou des dogmes que l'homme vaincra le mal. Utopie ? Réalisme répond Dieu qui sait de quoi l'homme est capable.  En créant l'homme à son image et ressemblance (génèse) c'est à dire en le dotant des dons divins d'Amour, de Liberté, de Création, de Parole et d'Individualité, Dieu a fait d'Adam le co-créateur de cet univers, capable d'échapper à ses propres ténèbres en d'en faire jaillir la Lumière. 

La Révélation d'Arès nous éclaire sur bien des points de la nature humaine et nous enseigne des réalités depuis longtemps oubliées. L'homme est le maitre de son destin. S'il le veut, s'il fait l'effort de se recréer bon (ce que la Révélation d'Arès appelle entrer en pénitence), il peut (re)devenir un dieu. Dieu n'a pas créé l'homme pour se le soumettre ou en faire le sujet d'une religion ou d'un pouvoir quel qu'il soit. Il a créé l'homme pour partager avec Lui Sa Création. S'il l'homme est aujourd'hui devenu une nèpe (spirituellement parlant) soumis aux vicissitudes de la vie, c'est à lui même qu'il le doit. Il ne tient qu'à lui de se redresser et de redevenir un aigle. 

Souldigg

Note :
 les mots en italique sont extraits de La Révélation d'Arès.